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[21/04/2482] sois gentille (costia&penelope)

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[21/04/2482] sois gentille (costia&penelope) Vide
MessageSujet: [21/04/2482] sois gentille (costia&penelope) [21/04/2482] sois gentille (costia&penelope) EmptyMar 10 Avr - 9:51

Lieu du rp : Mont Weather, dans la chambre de Costia
Date du rp : Très tôt le matin du 21 avril 2482.
Participants : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et Penelope Vane
Météo : Un petit orage métaphorique… Sinon, le temps est égal à lui-même, sous terre.
But du rp : L’annonce de la grossesse de Costia.
Résumé du rp : (A éditer une fois le sujet terminé. Ca vous permettra de voir si vos persos vous ont laissé faire ce que vous vouliez. Et surtout, ça vous permettra de nous dire ce qui a pu se passer d'important, pour la chrono générale si cela s'avère utile. Ou ça servira simplement aux gens qui peuvent être concernés par votre sujet ! N'hésitez donc pas à nous dire si vous avez dû vous battre, si vous avez eu de la "visite" de la Faune et/ou de la Flore... Bref, on veut tout savoir !)

❝ you’re having my baby ❞[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]sois gentillePenelope n’avait pas pu attendre plus. Oh ça non, elle n’en pouvait plus d’attendre… Alors elle avait quitté très tôt le lit conjugal, sans faire de bruit, pour aller dans son bureau, avant même que ses heures n’arrivent réellement. Elle n’attendait qu’une seule chose, qu’on lui livre le résultat sur sa tablette, le résultat du test de grossesse de Costia. Celle qui devait porter son enfant… La doctoresse avait encore plus hâte de savoir, surtout après avoir parlé de fonder une famille avec Sara et que cette dernière semblait plus que partante pour l’aventure. Et Sara… Elle était absolument indispensable dans cette épopée. Absolument. Car elle était la valeur de l’amour, cette valeur dont avait manqué Penelope durant ses jeunes années, n’ayant quasiment que sa mère sur le dos, sa mère qui était pratiquement un robot, qui attendait des résultats, et savait montrer quand elle n’était pas satisfaite. Car c’était cela, l’amour maternel vécu par Penelope : la satisfaction ou la déception. Ainsi, elle ignorait totalement comment montrer ce feu qui brûlait déjà en elle, ce feu passionnel qui n’attendait que d’être déversé. Sara, elle… Elle le savait. A elles deux, elles allaient forcément parvenir à élever un enfant équilibré, intelligent et pourtant capable d’amour, un hybride des deux, ne prenant que le meilleur.

Alors, elle attendait, buvant un café pour lui donner de l’énergie fictive, tout en triant ses dossiers, pour le suivi des procédures médicales. Elle en profitait aussi pour vérifier ses e-mails, pour trouver un message de sa mère. C’était justement cela le truc, avec Madame Vane : elle ne venait que très rarement en visite, face à face. Elle ne le faisait que lorsqu’il y avait un intérêt à être là, comme pour jauger une réaction, ou pour vérifier qu’on lui dise bien la vérité. Ici, aucun intérêt, ce n’était qu’une information… Qui était de taille, pourtant, vu la première phrase, qui déclarait que tout ce qui était dans ce message devait rester secret, pour être supprimé juste après lecture. Cependant, elle n’eut pas le temps de lire, le coursier arrivant après avoir toqué, livrant le document qu’elle attendait tant. Exit le message de sa mère, elle laissa tout en plan pour récupérer ce document. Elle le lut à toute vitesse, puis… Le résultat fut à la hauteur de ses espérances.

Elle congédia quasiment tout de suite le coursier, qui s’en alla sans demander son reste. De toute façon, il avait l’habitude de livrer les médecins, et qu’ils soient particulièrement imbuvables… C’était probablement inscrit dans le code génétique de toutes les personnes se dirigeant vers le soin aux personnes, contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, comme par exemple la compassion. Certains pensaient que pour avoir les tripes de jouer avec la vie humaine, il fallait posséder un véritable égo surdimensionné, ainsi qu’un complexe de Dieu. Ce n’était pas tout à fait faux, dans le cas de Penelope… La question qui restait à poser était de savoir si cette assurance était réelle, ou si elle était montée de toute pièce afin d’ériger une protection contre le reste du monde.

Avec ce papier en main, elle se dirigea vers le vestiaire des médecins, afin de ranger ses bijoux, qui pouvaient être douloureux si arrachés par des patients, et enfiler sa blouse, véritable uniforme qui permettait de faire la différence entre elle et ces sauvages. Elle devait rentre une petite visite de courtoisie à une certaine Costia, celle qui était concernée par ces résultats parfaitement satisfaisants – pour reprendre le modèle maternel. Il traversa alors des couloirs, protégés par des portiques activés à distance par des gardiens. Cependant, ils la firent attendre à la dernière limite avant d’arriver dans le couloir menant aux chambres individuelles, jusqu’à ce que deux infirmiers arrivent à son niveau. Elle les jaugea d’un air peu amène :

« Qu’est-ce que vous voulez ?
_Nous avons l’obligation de vous suivre durant vos procédures médicales, Docteur Vane…
_Et pourquoi cela ? Je ne suis plus étudiante, d’autant que je vais simplement effectuer une visite de contrôle. Restez ici.
_Madame Va…
_Est-ce que je dois m’énerver ou vous allez disposer ? Que je sache, je suis médecin, et vous êtes infirmiers ! … Ah, même pas. Aide-soignant. Laissez-moi passer ! »


Cela mit Penelope de mauvaise humeur, jamais on n’avait tenté de contester son autorité… Ni même de lui bloquer le passage. Ces hommes étaient du menu fretin pour elle, rien de plus que de la main d’œuvre pour laver les corps de ces sauvages, afin qu’ils soient acceptables à la vue et à l’odorat, et à faire le ménage dans les chambres. Que croyaient-ils ?! Elle leur était largement supérieure, et cela se sentait à l’hésitation des deux hommes, nettement moins baraqués que les infirmiers de la dernière fois. Elle restait néanmoins plus petite, plus frêle qu’eux, bien qu’elle ne les craigne absolument pas. C’était son côté arrogant, persuadée que personne ne peut lui faire de mal… Tant qu’on ne la touche pas. Et l’un d’entre eux tendait la main vers elle, probablement pour lui poser ses paluches immondes sur l’épaule, dans le but de la calmer.

« Ne vous avisez surtout pas de me toucher ! »

Elle montait sur ses grands chevaux, certainement, mais cela eut le mérite de stopper toute velléité de la toucher, tant ils étaient surpris par le ton polaire qu’elle avait employé. C’était un ton qu’elle usait rarement, uniquement quand elle se sentait acculée… Mais il était assez efficace pour qu’on la laisse aller là où elle voulait se rendre : à la chambre de Costia. Avec son passe, elle ouvrit la porte puis entra dans cette pièce, avec l’air d’un Roi venant en territoire conquis… Ce qui était quelque part le cas. Penelope ressentit la même sensation de vengeance accompli que la dernière fois qu’elles s’étaient vues, quelques jours plus tôt, avant de la laisser aux bons soins des infirmiers qui avaient effectué les examens nécessaires pour vérifier ses constantes ainsi que sa grossesse. Elle aimait le pouvoir, Penelope, ce n’était un secret pour personne. Mais Costia lui inspirait le désir de posséder plus que cela, elle voulait la posséder toute entière. Après tout, elle était son ventre, la sauvage qui allait mettre au monde son bébé. Elle se fichait bien de ce qui se passait dans son esprit, juste, elle voulait son utérus. Si on avait pu dissocier cette partie là du corps du reste… Elle en aurait été largement satisfaite.

Ah, ça, Penelope n’était pas devenue médecin pour le contact avec l’autre, ça non.

« Hé bien, il faut se réveiller. On a de grandes nouvelles à apprendre aujourd’hui… »

Cependant, Penelope perdit légèrement un peu de son sourire quand elle nota la présence des aide-soignant, sur le côté de la porte. Ils étaient là pour vérifier quelque chose, mais quoi ? Penelope n’en avait pas la moindre idée. C’était la première fois depuis la fin de ses études qu’on la surveiller. Alors, pour faire bonne figure, elle enfila ses gants, afin de débuter un examen superficiel clinique, comme la prise du pouls par exemple.
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